A L’Hôtel

Dans un doux mois d’octobre, j’ai eu l’envie de réserver un petit weekend en amoureux avec ma copine Gigi. Je décidais donc de l’emmener dans un château de la campagne de l’ile de France.
Nous prîmes la route un vendredi soir et malgré les bouchons et l’agacement que nous ressentions, on guettait l’arrivée de plus en plus. J’étais le passager et nous échangions pas mal. Gigi voulait à tout prix savoir le programme du séjour et je lui disais « mystère » enfaite je n’en avais pas et je comptais faire cela au feeling et puis parfois les surprises ont du bon.
Nous vîmes enfin la sortie d’autoroute et au loin le château qui se dressait. Une fois les formalités d’accueil accompli, nous primes possession de notre chambre qui se trouvait au troisième étage. Les couloirs étaient assez sombres mais respiraient la propreté.
Sitôt arrivé dans la chambre je pris ma douce contre moi et la serra très fort et la nos langues se trouvèrent, s’entrecroisèrent, nos lèvres ne se décollaient plus l’une de l’autre ce qui avait pour effet de me faire bander progressivement.
Je me collais encore plus à Gigi pour bien qu’elle sente mon érection contre son ventre, celle-ci eu en guise de réponse un sourire avec un regard coquin.
Nos vêtements tombèrent un à un sur le sol et Gigi s’allongea sur le dos et je vins sur elle tout en continuant de l’embrasser et en frottant mon sexe contre son bas ventre.
Ma langue alla progressivement chercher le lobe de son oreille que je léchouillais et je descendis petit à petit dans le creux de son cou tout en l’effleurant avec le bout de ma langue.
Je m’attardais sur ses seins, fièrement pointé et réclamant ma bouche. Je commençais par les mordiller et les tétant par moment ce qui les fit dresser encore plus. Ma bouche descendu encore et je goutais enfin ce délicieux nectar qui s’échappait de son entre cuisse. J’aspirais ce doux jus tout en léchant son clitoris qui commençait à grossir sur l’impulsion de ma langue et de mes mains qui pétrissaient ses seins.

Mon cuni se faisait de plus en plus précis et ma langue glissa entre ses grandes lèvres et la pénétra ce qui lui arracha un cri de surprise et de bonheur à la fois.
gigi me dit « j’ai envie de te sucer » et je me mis alors sur le dos et celle-ci vain sur moi à califourchon me laissant libre accès à sa chatte et son anus.
Je sentis sa main enserrer ma bite et ses lèvres prirent possession autour de ma queue, elle me fit d’abord des petits bisous sur le gland et ensuite me l’aspira comme un cône glacé. Cela me fit gémir et pendant ce temps la je récoltais chaque goutte de cyprine s’échappant de son vagin surexcité. Mon index en récupéra et se plaça derrière son œillet tout serré que je commençais à masser circulairement avec la mouille s’échappant de son vagin. Soudain Gigi me dit la bouche à moitié pleine « bouffe-moi le cul » je ne me fis pas prier et ma langue vain se placer contre son trou et je commençais à le lécher, il s’ouvrait progressivement et cela lui arrachait des petits cris de jouissance.
Pendant ce temps là, elle astiquait toujours ma bite mais je sentis son doigt humide venir me titiller l’anus. Je la laissé faire et son doigt vain faire des petits tours dessus et progressivement tout en me pompant goulument, il s’enfonça plus profondément. Je sentais ma verge se contracter encore plus et devenir de plus en plus bandé. J’avais du mal à me concentre sur mon anulingus tellement je prenais du plaisir à cette pipe royale.
N’y tenant plus, j’allongeais ma chérie sur le dos et lui écarta grandement ses cuisses et je pus voir son sexe détrempé réclamant ma bite. Mon gland rentra sans souci et je fis glisser mon membre jusqu’à la hampe, à chaque mouvement mes couilles claquaient lourdement contre ses fesses. Je me redressais légèrement et je commençais à la pilonné faisant bien ressortir mon gland à chaque pénétration, je l’entendais gémir et hurler tout à la fois tant son plaisir était immense. Ses mains cherchaient ma peau et je sentis ses longs ongles vernis de marron venir se planter contre mes pectoraux ce qui m’excita encore plus.
Nous décidâmes de changer de position et je m’assis et Gigi vain s’emballer sur moi, nos sexes se rencontrèrent sans la moindre résistance. Je pris en bouche ses seins qui remuaient à chacun de ses balancements sur mon pieu. Je fis glisser un doigt dans son anus et je le faisais remuer en elle tout en espérant pouvoir la sodomiser après. Elle me poussa légèrement contre le dossier du canapé et accéléra encore plus son mouvement, la vision de ses ongles marrons m’excita encore plus et dans un dernier mouvement je sentis la jouissance venir et je lâchais en elle de très long jets de sperme qui vinrent s’écraser au plus profond de son sexe.
Elle s’écroula sur moi et je sentais le sperme sortir progressivement de son vagin tant la jouissance fut forte.
Nous primes la direction de la salle de bain et nous fîmes couler un bon bain chaud. Au bout de vingt minutes mon sexe repris de la vigueur et dès que gigi vis ça elle entreprit de le prendre directement en bouche. Je m’assis sur le rebord de la baignoire et la vis à genou me pomper vigoureusement le sexe.
N’y tenant plus je décidé de nouveau de prendre la direction du lit et je fis allonger ma chérie pour de nouveau prendre possession de son vagin qui me réclamait encore.
J’alternais entre des mouvements lents et rapides et je prenais un malin plaisir à voir mon gland ressortir de ses lèvres par moment.
Nos lèvres se rencontrèrent et nous échangeâmes un long baiser amoureux et je sentis en même temps la main droite de gigi venir à la rencontre de mes fesses tout en sentant son majeur venir me titiller. Décidemment elle savait me rendre fou et je pus sentir son doigt à nouveau me pénétrer avec la sensation que mon sexe éclaterait tellement il grossit dans ce moment la.
N’y tenant plus et sentant à nouveau la jouissance arriver, je la mis en levrette et je léchais son anus tout serré mais luisant par la mouille. Je fis ensuite glisser mon index puis mon majeur dans son œillet ce qui l’écarta progressivement et présenta ensuite mon gland contre son orée.
Je le fis glisser progressivement malgré la sensation de douleur de Gigi, je lui dis de pousser comme si elle était au toilette pour lui faire passer cette sensation de douleur l’envahissant. Lentement je réussis à faire glisser toute ma longueur en elle et je m’immobilisai pour qu’elle puisse s’habi à ma longueur.
La tenant fermement par les hanches, j’entrepris de remuer doucement en elle, mon pieu et la douleur s’estompant j’accélérai, soudain gigi me dit « je suis ta soumise, défonce moi le cul, fais de moi ce que tu veux « alors mes mouvement devinrent plus rapide et plus précis, par moment je déculais complètement ma bite et la re-rentrais d’un coup. La douleur avait laissé la place à une sensation enivrante de plaisir et dans son étroit fourreau je ne mis pas longtemps à lâcher une nouvelle fois ma semence qui lui arracha pour sa part un cri de surprise et de gémissement à la fois.
Elle s’écroula sur le ventre et je pouvais voir mon sperme sortir progressivement de son œillet pour couler le long de ses cuisses et finir sa course sur le lit.
Je la pris contre moi et lui fit des bisous et lui dit je t’aime.
Je vous laisser imaginer combien de fois nous avons fais l’amour durant ce weekend la, vous le serez au prochain épisode.